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Pour cette troisième édition du Festival des Libertés au Théâtre national, la scénographie, orchestrée par Béatrice Massinger, joue une fois encore avec le lieu, en veillant à le prendre pour ce qu’il est, sans le cacher ni le tordre, à mettre en valeur son architecture et sa lumière et à l’habiter d'une présence qui se veut pratique, accueillante et remuante.

Au cœur de cette mise en espace se manifeste la volonté  de raconter des itinéraires, de créer des respirations, de susciter des découvertes et des surprises pour un public qui  acceptera, parfois, de se laisser toucher, prendre au jeu, de s'arrêter, et de devenir plus qu'un simple passant.

S'arrêter.  Pour écouter les échos lointains ou proches d'autres réalités, étranges ou étrangères peut-être. S'arrêter là et écouter.

Regarder. Des étudiants de l'atelier de typographie de l'école de La Cambre Arts visuels ont ciselé la forme, la ligne et la couleur de mots afin d'en amplifier le sens et de donner à mieux voir, ou à voir autrement, ce qui est dit.

Ces espaces d'exposition et ces installations sonores se répondent, dialoguant avec le travail photographique de Gaël Turine pour donner à chacun l’occasion de vivre des petits bouts d’autre chose, à la frontière du savoir et de la conscience, de l'intuition, de la dénonciation, de l'émotion et parfois du dérisoire ou de l’humour.



Une organisation de Bruxelles Laïque asbl  |  Tel: +32 2 289 69 00  |  En collaboration avec deMens.nu, le Théâtre National et le KVS  |  info@festivaldeslibertes.be

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