Si les avis de tempêtes concernant nos libertés fondamentales s’accumulent, les réactions ne se valent pas. Entre mise à mal du cadre démocratique et confusions politiques, comment lancer l’alerte ? Avec quel journalisme ? N’aurions-nous pas pris goût à ces récits anxiogènes ? Quelle distinction entre une saine vigilance – un travail de veille – et une défiance démesurée ?